Combien j'aimerais écrire aujourd'hui que la situation stressante de nos champs a été partiellement résolue ; combien j'aimerais vous dire que les pluies ont été abondantes, ou du moins suffisantes, pour atténuer la situation dont souffrent nos sols assoiffés, tant pour les oliviers que pour les autres cultures ; sans oublier les difficultés que doivent endurer d'autres métiers, comme les éleveurs qui, en raison du manque de pluie, n'ont pas de pâturages pour leur bétail. Aujourd'hui, la situation est pire que l'année dernière : les niveaux des réservoirs sont inférieurs aux niveaux minimums. Les allocations d'eau pour l'irrigation seront inférieures de moitié à ce qu'elles étaient au cours de la période précédente. En effet, nous avons un gros problème devant nous et il est difficile d'y remédier. Je suis désolé d'être réaliste dans ce que j'écris, et non pessimiste comme certains le diraient.
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